Les États-Unis et l’ACE ferment des sites pirates d’anime
En jours récents, des autorités des États-Unis et l’Alliance pour la Créativité et le Divertissement (ACE) ont pris des mesures contre les sites pirates qui distribuent illégalement des anime. Grâce à cela, cette semaine, ils ont fermé 13 portails opérant depuis Tonga.
Japon et Brésil remportent une victoire contre la piraterie d’anime
Maintenant, le Japon et le Brésil ont également obtenu une victoire dans leur lutte contre la piraterie de séries d’animation japonaise, en réussissant à fermer 16 autres sites. Cela fait suite aux plaintes reçues de la part de grandes entreprises du secteur, comme Toei Animation, Toho et Bandai Namco.
Le Japon met fin à 16 nouveaux portails illégaux de distribution d’anime
Le Japon combat les sites pirates d’anime par l’intermédiaire de la Association pour la Distribution de Contenus à l’Étranger (CODA, selon son sigle en anglais). Dans le cadre de son programme Operation Animes, il collabore avec des autorités internationales pour freiner la distribution non autorisée de séries, films et autres contenus.
Cette initiative est récemment entrée dans sa seconde phase avec le soutien du Brésil. Depuis la fin de l’année dernière jusqu’à maintenant, les autorités ont réussi à fermer 16 sites. Lors de la première phase du programme, elles avaient fermé 36 sites pirates et continueront à travailler pour égaler ou dépasser ce chiffre.
Les autorités japonaises et brésiliennes ont une stratégie efficace pour stopper les opérations de ces sites. Tout d’abord, elles localisent leurs installations pour ensuite les perquisitionner. C’est alors qu’elles arrêtent les opérations des sites de manière efficace.
Selon les détails, les 16 sites fermés enregistraient près de 7 millions de visites mensuelles, ce qui constitue un autre coup dur contre la piraterie d’anime. Dans un communiqué, la CODA a affirmé qu’elle continuerait ses efforts locaux et internationaux pour promouvoir la distribution légale de contenus.
De plus, elle a invité les fans d’anime à profiter de leurs séries préférées par des voies légales de distribution, afin de garantir que l’industrie reste en bon état. De plus, ils contribueront à ce que leurs créateurs préférés restent actifs.
« Pour les fans de contenu japonais, le fait de regarder des sites pirates ou des vidéos téléchargées illégalement nuit aux intérêts des créateurs et des titulaires de droits, et conduira à la destruction du cycle de création de contenu », a affirmé la CODA.
Conclusion
Il est impératif que la communauté des fans de l’anime soutienne les initiatives visant à lutter contre la piraterie. En optant pour des plateformes légales, non seulement ils consomment un contenu de meilleure qualité et sans risques, mais ils assurent également la pérennité et le développement de l’industrie de l’anime. Les actions conjointes du Japon et du Brésil montrent que des mesures efficaces peuvent être prises contre ces pratiques illégales. Nous espérons voir des efforts continus et une coopération internationale accrue afin de préserver l’intégrité de l’industrie de l’anime.